Qui a dit qu’on ne pouvait pas choisir un vin au style de sa bouteille d’autant plus quand il s’agit d’une saga qui se réinvente chaque année !
Impossible de rester indifférent à cet hymne à la liberté et au glamour. La forme du flacon nous évoque déjà les courbes d’une femme et son incarnation à même le verre au travers d’une figurine au style des années 50 vient signer tout en légèreté et en élégance ce cru classé 2022. Son nom tout aussi retro ne peut qu’évoquer une proximité qui nous donne immédiatement envie de succomber.
Et dans le verre, tout y est, un vin plein de générosité pour cette cuvée d’exception et qui tient ses promesses : de la fraîcheur du départ légèrement amandée viennent ensuite des arômes plus ronds de fruits jaunes tout en subtilité.
Marie-Christine, nous sommes sous le charme !
En 1932, Monsieur Henri Fabre se prit de passion pour l’Aumérade, et racheta la propriété. Devenu un des premiers embouteilleurs et fondateur des Côtes de Provence, Henri Fabre et Charlotte, son épouse, restructurèrent le château et obtinrent en 1955 le titre de Cru classé dont seulement 18 propriétaires peuvent se prévaloir en Provence.
Aidés par leur fils Louis Fabre, ils développèrent ensemble la commercialisation et l’exportation des vins. En 1956, Charlotte Fabre imagina une bouteille originale, une des premières en Provence, en s’inspirant d’une pâte de verre d’Emile Gallé. La Marie-Christine était née…
Sur les traces de leur grand-père et de leur père, Marie-Christine Fabre-Grimaldi et son mari Vincent, perpétuent la tradition en s’appuyant sur 400 ans de passion.
Aujourd’hui les vins évoluent, la famille s’agrandit et l’avenir du château de l’Aumérade est déjà en marche à travers la nouvelle génération Caroline, Clément et Delphine…